4 états d’esprit pour commencer le cours ultime de méditation kabbalistique

 



Je suis heureux de publier le deuxième aperçu du cours ultime de méditation kabbalistique pour dirigeants, consacré aux 4 états d’esprit.
Ce sont 4 croyances fondamentales qui, une fois intériorisées, ont profondément transformé le progrès de l’Empowerment kabbalistique. Je ne prétends pas les avoir perfectionnées, mais je peux témoigner qu’elles ont amélioré ma vie et m’ont fait grandir considérablement.

Sans plus attendre, voici la vidéo et la transcription adaptée ci-dessous !



Avant de pouvoir créer des résultats extérieurs, nous devons d’abord cultiver les croyances intérieures qui rendent la transformation possible. Trop souvent, les gens pensent que les circonstances définissent leur potentiel, qu’ils sont limités par leur passé, leur éducation ou des forces extérieures échappant à leur contrôle.

La réalité est bien plus porteuse de pouvoir : vous êtes responsable de votre vie.

La Kabbale enseigne que les croyances sont enracinées dans la sphère la plus élevée, Keter, qui est la source du libre arbitre. Bien que Keter soit difficile à transformer, avec de la pratique nous pouvons reprogrammer nos circuits intérieurs. Le libre arbitre est l’un des plus grands dons faits à l’humanité. Cela signifie qu’à tout moment, quelles que soient les conditions extérieures, nous avons le pouvoir de choisir notre chemin.

Il n’y a pas de destin fixé. Tout est ouvert devant nous. Ce qui détermine réellement notre avenir, c’est l’état d’esprit que nous adoptons : comment nous pensons, ce que nous croyons et comment nous réagissons aux défis. Ces postures intérieures constituent la base de tout ce qui se manifeste dans notre vie.

Voici les quatre états d’esprit essentiels qui forment le socle du cours ultime de méditation kabbalistique.


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1. Responsabilité personnelle radicale
L’un des plus grands changements qu’une personne peut opérer est de prendre la pleine responsabilité de sa vie. Cela signifie aller au-delà du blâme, au-delà des excuses et au-delà de l’attente de conditions parfaites avant d’agir.

Blâmer peut sembler naturel — après tout, il arrive que des personnes se mettent en travers de notre route — mais quiconque nous blâmons, nous lui donnons également notre pouvoir. Lorsque nous adoptons l’idée que nous sommes les créateurs de notre expérience, nous cessons de nous sentir victimes des circonstances et commençons à agir en véritables architectes de notre avenir.

La responsabilité personnelle n’a rien à voir avec la culpabilité ou l’auto-jugement. Il s’agit d’autonomisation. Le Zohar enseigne : « Rien ne fait obstacle à la volonté. » Si notre volonté n’est pas assez forte, elle ne nous dirigera pas là où nous voulons aller. Renforcer cette force intérieure est central pour la transformation.

Exercice pratique : Prenez cinq à dix minutes et écrivez dans votre carnet :

Dans quels domaines de ma vie suis-je encore en train de blâmer les autres ou des forces extérieures ?

Où est-ce que j’attends qu’un facteur extérieur change avant d’agir ?
Ce sont les endroits où la responsabilité doit être embrassée.



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2. L’état d’esprit des possibilités infinies
Toute réalisation commence comme une idée. Si vous pouvez concevoir quelque chose dans votre esprit, cela existe déjà comme une possibilité. La seule barrière entre vous et cette possibilité est votre volonté d’y croire et d’agir en conséquence.

La Kabbale enseigne que la réalité est fluide, non figée. La plupart des limitations sont auto-imposées ou conditionnées par la société et les expériences passées. Lorsque nous élargissons notre état d’esprit et croyons véritablement en ce que nous désirons, nous commençons à voir des opportunités là où auparavant nous ne voyions que des obstacles.

Il ne s’agit pas de nier les défis ou de prétendre que tout est facile. Il s’agit plutôt de reconnaître que, dans chaque limitation, il existe encore des moyens infinis d’avancer. Les seules limites véritables sont celles que nous acceptons.

Exercice pratique : Notez vos objectifs en trois étapes — court terme (1 mois), moyen terme (3–6 mois) et long terme (1 an). Soyez précis. Cette vision écrite devient une ancre pour transformer la réalité.

Rappelez-vous : nous ne sommes pas séparés de Dieu. Bien qu’Il gouverne la réalité, Il nous a donné le pouvoir de co-créer avec Lui lorsque nous alignons nos facultés spirituelles à Son service.


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3. L’intrépidité dans l’exploration
La croissance exige de s’aventurer dans l’inconnu. Beaucoup restent bloqués dans de vieux schémas par peur — peur de l’échec, de l’inconfort ou de confronter des parties cachées d’eux-mêmes. Mais la transformation exige du courage.

En Kabbale, il existe un concept appelé Bitoul (l’annulation de soi). Cela ne signifie pas se diminuer, mais plutôt abandonner le besoin de l’ego d’avoir toujours raison ou d’être certain. La vie n’est pas faite pour être prévisible, et cette incertitude est un don.

Exercice pratique : Écrivez dans votre carnet :

Où, dans ma vie, est-ce que j’évite la croissance par peur ?

Quelles nouvelles expériences ou idées suis-je en train de résister ?
En identifiant ces lieux, vous commencez à desserrer la prise de la peur et à créer un espace pour un véritable changement.



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4. Engagement envers l’apprentissage et la maîtrise
La transformation n’est pas un événement ponctuel, c’est un voyage à vie. Ceux qui réussissent à opérer un changement durable sont ceux qui s’engagent dans un apprentissage continu, un raffinement constant et une amélioration de soi.

La maîtrise exige de la discipline. Cela signifie se présenter pour soi-même, même quand le progrès semble lent. La véritable maîtrise ne consiste pas à atteindre un objectif unique, mais à devenir une personne incarnant la croissance, la résilience et la sagesse.

Bruce Lee disait : « Je ne crains pas l’homme qui a pratiqué 10 000 coups de pied une seule fois, mais l’homme qui a pratiqué un coup de pied 10 000 fois. » Il en va de même ici. Choisissez quelques techniques de méditation de ce cours qui résonnent en vous et engagez-vous à les pratiquer régulièrement. Le progrès se construit avec le temps, tout comme l’entraînement en salle de sport.

Exercice pratique : Écrivez dans votre carnet :

« Je m’engage dans la maîtrise. »
Identifiez vos croyances limitantes (par exemple : « Je ne suis pas doué pour ça », « Il est trop tard pour moi »). Puis remettez chacune en question : Est-ce absolument vrai ? Ai-je déjà prouvé le contraire ? Où ai-je appris cette croyance et me sert-elle encore ?
Réécrivez chaque croyance sous une forme porteuse de pouvoir. Par exemple : « J’apprends et je m’améliore chaque jour » ou « Maintenant est le moment parfait pour commencer. »
Prononcez ces affirmations à voix haute, ressentez-les dans votre corps et visualisez-vous en train de les vivre. Avec le temps, votre subconscient les acceptera et vos actions s’aligneront.



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Réflexion finale
Adopter le bon état d’esprit est la base de toute transformation. Tout ce que vous désirez est déjà possible. L’imagination elle-même est une faculté de l’âme, enracinée dans la Séfira de Binah. La seule question est de savoir si vous alignerez votre esprit, votre énergie et vos actions pour la concrétiser.

Demandez-vous :

Lequel de ces quatre états d’esprit dois-je renforcer le plus ?

Quelle petite étape puis-je entreprendre aujourd’hui pour commencer à l’incarner ?


Le voyage commence maintenant.


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